Pourquoi a-t-on commencé à noter les mélodies grégoriennes à partir du IX° siècle ? S’agissait-il de fournir un aide-mémoire aux chantres ? Dans Laborintus, Olivier Cullin remet en cause l’explication traditionnelle de ce phénomène.
Pour O. Cullin, les notes sont comme des images. Il en veut pour preuve que les graphies qui sont inscrites sur les manuscrits sont postérieures au répertoire qu’elles contiennent. Il ne s’agirait donc pas d’une partition musicale au sens où nous l’entendons, mais du (...)